terça-feira, 20 de dezembro de 2011

quinta-feira, 15 de dezembro de 2011

‎"JEU CONCOURS DIVA"


!L’équipe Facebook de la sublime Arielle Dombasle et Mercury France, en partenariat avec OFF TV, ont le plaisir de vous annoncer un grand concours Facebook qui commencera demain et sera en ligne pour un mois, soit jusqu’au 15 janvier 2012.Ce concours vous permettra de gagner plein de lots merveilleux!
  
Voici les lots qui seront offerts aux gagnants :  - 

-10 albums « Diva Latina » dédicacés par la chanteuse. 
 - 5 places de concerts à Paris pour deux personnes.  
- Une rencontre backstage pour deux personnes avec la Diva Arielle lors de son concert exceptionnel du 27 janvier 2012 au Théâtre du Châtelet.  
Bonne chance!

segunda-feira, 12 de dezembro de 2011

Arielle Dombasle en Concert Exceptionnel


ARIELLE DOMBASLE EN CONCERT
« VIDÉO GLAM SHOW »
Un concert-show exceptionnel, avec la présence de
PHILIPPE KATERINE
Dimanche 1er janvier à 23h55

Ce spectacle est un hommage à Sor Juana Inès de la Cruz, poétesse mexicaine, considérée comme la première féministe d’Amérique latine. Ce voyage qui est 100% glamour (à mort) est mené par Arielle Dombasle, Philippe Katerine et Gonzales.
Un opus déjanté, une sorte de rencontre mystique entre la religion, le monde des super héros « comics » et la chanson tendance lyrique. Scénographie soignée, costumes de superwoman de circonstance : le spectacle est grandiose.
Parmi les titres phares, Arielle Dombasle interprétera « Glamour à mort », « A la Néandertal », « En Saint-Laurent » (hommage au couturier Yves Saint-Laurent), « Extraterrestre » et « Sor Juana », sans oublier quelques titres de son répertoire plus ancie.



Glamour à Mort:



Arielle Dombasle au dîner de charité parisien.


Arielle Dombasle, Olga Kurylenko et Olivier Theyskens au dîner de charité parisien organisé au profit des enfants du Rwanda. Le 10 décembre 2011.

sábado, 10 de dezembro de 2011

Interview d'Arielle pour NUMÉRO.

In Bed with… Arielle Dombasle
propos recueillis par Philip Utz, portrait Sofia Sanchez et Mauro Mongiello
 
A quelques semaines de Diva Latina, son concert très attendu au théâtre du Châtelet, la vénus blonde a accepté de se glisser sous les draps et de répondre à nos questions… légèrement indiscrètes.

Numéro : De quel côté du lit dormez-vous ?
Arielle Dombasle : La grande poétesse japonaise Sei Shônagon disait que le plus important, lorsqu’on pose la tête sur l’oreiller, c’est de repenser non pas à la journée qui vient de s’écouler, mais à celle de la veille. C’est une très jolie philosophie de courtisane du xe siècle, parce que le plus souvent, hier est déjà bien oublié.
Ce qui ne répond pas à ma question…
Je prends toujours le côté du lit qui n’est pas près de la fenêtre, parce que Bernard-Henri l’ouvre systématiquement même si on est en Suède par moins vingt-sept degrés. Et donc voilà

Quel est votre pire cauchemar ? S’agit-il des grands classiques, comme de se retrouver tout nu, à l’école, devant ses camarades de classe ?
Comme tout le monde, j’ai un cauchemar récurrent: c’est une gigantesque vague, comme un serpent de jade venant du fond de l’océan.



Tous mes amis me disent: “Viens !” Ils me frôlent le bras en voulant m’attraper. Ils courent tous vers la vague pour la prendre avant qu’elle ne casse, et moi, évidemment, je n’y arrive pas, je suis comme paralysée. Je me réveille toujours quand il y a des tonnes et des tonnes d’eau qui menacent de m’engloutir. Voilà, c’est mon rêve depuis l’enfance. Et je ne l’aime pas du tout!

A force de les voir repasser en boucle, ne finit-on pas par s’habituer aux cauchemars ?

Je ne crois pas. Je me réveille toujours juste avant que la vague ne m’emporte, donc je vis dans la crainte qu’un jour elle ne m’écrase.

Vous êtes plutôt Stilnox, Lexomil ou Valium ?

J’essaye de rester loin de ces bonbons alléchants. Quand il m’est arrivé d’en prendre, j’ai adoré ça. C’était comme de l’opium: ça vous enveloppe doucement et c’est d’une volupté incroyable. Du coup, je ne peux pas, j’ai trop peur de devenir accro.

Rassurez-moi, vous n’êtes pas une lève-tôt ?

Si. Comme disent les Anglais: “The early bird catches the worm.” [L’avenir appartient à ceux qui se lèvent tôt]. Et mieux encore. J’aime me lever vers 8 heures –un chiffre très gracieux qui, de plus, symbolise l’infini. Mais il est très important de réussir ses nuits. Au cours de notre vie, nous passons près de trente ans dans les bras de Morphée. C’est énorme. Il faut donc veiller à ce que le sommeil soit le territoire de la volupté, de la tendresse et de la douceur. Et justemen
t, si les cauchemars sont si terribles, c’est parce qu’ils vous tirent de cet état de grâce. Je ne suis pas insomniaque, mais lorsque je n’arrive pas à m’endormir, je deviens hystérique. Je sors du lit, je me fais couler un bain parfumé, je lis, je regarde la télé… Je me rappelle que Françoise Sagan m’avait dit que les meilleures émissions passaient en plein milieu de la nuit. Elle était bien placée pour le savoir. Du coup, lorsque je suis seule à la maison, je laisse toujours la télé allumée pour qu’elle me tienne compagnie.

Comme Marilyn, ne portez-vous qu’une goutte de No 5 lorsque vous vous couchez ?
Je ne dors jamais nue: j’ai beaucoup de vêtements de nuit –des nuisettes, des choses en satin de soie et mousseline qui coulent sur le corps comme de l’eau. J’ai d’ailleurs plus de vêtements de nuit que de vêtements de jour. J’adore ça!

Faites-vous partie de ces maniaques de la propreté qui changent de draps comme ils changent de chemises ?
J’ai la chance d’avoir quelqu’un qui change mes draps tous les jours. Je ne saurais pas le faire moi-même. C’est un luxe, je vous l’accorde.

Sans vouloir être indiscret, avec qui partagez-vous votre lit ?
Mais avec B.-H., évidemment! On partage son lit avec la personne qu’on adore. Et moi, je n’aime pas dormir seule. On aura tout le temps d’être allongé seul dans un cercueil, donc pourquoi le faire maintenant? Comme disait Molière: “On ne meurt qu’une fois, mais c’est pour longtemps.J’ai horreur d’être seule. Je suis quelqu’un qui adore la compagnie, qui aime ses contemporains et qui se déploie avec les autres. Vivre les choses seule ne m’intéresse pas.

BHL ronfle-t-il ?
Non. Et tant mieux, parce que c’est une vraie maladie.

Text pris de site d'Arielle Dombasle

Interview fashion d'Arielle pour ELLE Magazine.


1-Comment définiriez-vous votre style ?
Mon style ? Je ne sais pas trop…  Probablement fortement influencé, dans l’inconscient, par l’idéal de beauté, de chic, d’élégance que représentaient ma mère et ma grand-mère… Mais chez moi, cela s’est traduit au début, par une période de rupture contre l’ultra-féminité. Je ne sais pas… Probablement une certaine allure, une désinvolture, quelque chose qui vous échappe et qui finit par faire style, et puis je suis beaucoup passée entre les mains des stylistes mode pour les films et la scène. Mais on me parle toujours de ma ligne, de ma voix et du sillage de mon parfum.

2-Quels sont vos créateurs préférés ?
L’enfant terrible, Jean-Paul Gaultier ! John Galliano et Christian Lacroix qui m’ont habillée sur scène, en concert, à la ville si somptueusement ! Mais j’aime aussi Azzedine Alaïa pour son grand art de la coupe sculpturale et Karl Lagerfeld figure de style polymorphe si éternellement talentueux.

3-Avez-vous déjà porté des jeans et de quelle marque ?
Oui. Des jeans, des marques, Edwardo’s, Levis évidemment, Chimaron, je ne sais plus, Guess, bien coupé, une paire de jeans de Jean-Paul Gaultier savamment détournés, sauvagement contemporains comme toujours !

4-Comment arrangez-vous votre dressing ?
Comme je vis souvent à l’hôtel, comme ici à l’hôtel Bristol, en voyage pour mes tournages, mes concerts, j’emporte beaucoup de choses avec moi autour du monde… Cela me rassure. J’aime l’harmonie en toute chose, alors pour mes placards aussi. Quand j’ouvre leurs portes, je veux être éblouie. Je suis une amoureuse des robes longues pour leur poésie, leur grâce, leur chic… Le glamour des fables, des contes et des légendes.

5-Avez-vous des fashion faiblesses ?
Oui, je tombe dans des pièges saisonniers de la fashion victim. J’achète des choses parfaitement inutiles avec passion ou les pièges de l’anti fashion quand je m’imagine en total look minimaliste….
Je me projette dans des vies imaginaires, des situations extrêmes avec tel tailleur couleur platine et stilletos en cristal Mc Queen et je me laisse emporter par la fiction. Il me faut telle ou telle pièce impérativement que je ne porterai évidemment jamais. Autre faiblesse, le style « new look » que portait ma mère donc robes, tailleurs, manteaux vintage couture, pièces uniques que j’achète avec dévotion et ne porte, je dois avouer, jamais…

6-pour dormir, nuisette ou pyjama ?
Là aussi, puissance du conte de fée, la belle au bois dormant. J’adore les chemises de nuit longues, évanescentes, les déshabillés de soie, les coupes en biais délicates, vaporeuses… Satin et rubans, les pastels, les nuisettes à fleur de peau… Oh ! Vertiges des nuits ensorceleuses.

7-Stilletos ou talons compensés ?
Collectionneuse depuis toujours. Sandales, escarpins, stilletos, compensées, ballerines, bottines, mules. Fétichiste du pied, audace, addiction, donc multitude à mes pieds, plutôt haut perchée ! Pratiquement que du Christian Louboutin, ami depuis vingt ans qui m’a aussi fait des merveilleuses paires sur mesure ! Une cendrillon pour qui « too much is hardly enought ».

8-Une soirée chic de dernière minute, qu’allez-vous porter ?
Et bien j’obéis à un ordre mystérieux, je ne veux pas être dans le sex appeal abrupt ni dans le fade, ni dans le too much, ni dans la tenue, appliquée, à côté de moi-même… Alors je me laisse guider généralement vers une robe noire toute simple faussement ingénue, des bas synergies beautiful black basic, des escarpins vinyle diablement féminins et je me dis que cela fera l’affaire.

Le tout sera enlevé par une « manière de le porter » qui me fera être ni tout à fait pareille, ni tout à fait une autre, juste ce qu’il faut pour me retrouver et me sentir bien…
9-Une couleur que vous ne porterez jamais,
Probablement des couleurs trop vives sur de gros imprimés, ds rayures larges et multiples, un assemblage maladroit bigarré qui me ferait sentir out of place…

10-vos égéries mode ?
Comme je vous le disais, mes icônes mode, ma mère et ma grande-mère… Mais aussi le chic de Laureen Bacall, Gene Terney, Grace Kelly, la candeur de Marilyne Monroe for ever, le glamour absolu de Marlène Dietrich… Un peu rétro, j’en conviens.

11-Portez-vous de la fourrure ?
Non. Je ne porte pas de fourrures. Non aux chinchillas, visons, zibelines, panthères, chats, poulains, lapins, loups  ou même chiens chinois. Pas d’agonie sur le dos…

12- Quel est votre style de sac ?
Enchantement des mini sacs… Des minaudières, addiction depuis l’enfance, pièce unique, objets de désir, fétichisme.

encadré :
vos bonnes adresses à Paris :
Minuit moins sept – Rue Jean-Jacques Rousseau

Louboutin personalized shoes.
Vos bonnes adresses à Marrakech :
Le souk et ses paniers de paille.

Quels bijoux portez-vous ? Y-en a t-il en particulier qui ne vous quittent jamais ?
Peu de bijoux, beaucoup de parfums… Je porte mon parfum, c’est ma principale parure, mon bijou, ma signature.


Text pris de site d''Arielle Dombasle
www.arielle-dombasle.com

terça-feira, 6 de dezembro de 2011

Christian Louboutin 20th Anniversary Book Launch.

Arielle Dombasle attends the Christian Louboutin 20th Anniversary Book Launch - Cocktail at Christian Louboutin - Galerie Vero-Dodat at November 21, 2011 Paris, France.