terça-feira, 4 de outubro de 2011

La Télé d'Arielle Dombasle


Photo : © St. Gizard pour TV Magazine

Sur la musique de Diva latina, son dernier album, Arielle Dombasle présentera un nouveau spectacle au théâtre du Châtelet le 27 janvier 2012. D’ici là, la chanteuse, qui vient de participer à une grande soirée de soutien à la Tunisie, tourne des clips, les regarde sur son iPad et rêve de la sérieMad Men.

Arielle Dombasle, allez-vous avec plaisir sur les plateaux de télévision ?
Nous sommes des acteurs. Alors j’y vais comme pour tourner un film. Je joue le personnage que l’on me demande. Je m’adapte à chaque plateau. Je ne me rends pas à Thé ou café, rendez-vous que j’aime, comme au Grand journal
Votre meilleur souvenir ?
La première fois que j’ai chanté une cantate de Bach a cappella chez Drucker. Je n’avais pas encore enregistré d’album. C’était la première fois que j’étais filmée en chantant. Ce fut un moment d’une grande intensité. Et Michel Drucker est mon animateur préféré !
Regardez-vous beaucoup les variétés ?
J’y trouve mon compte. J’aime bien Nouvelle Star, les clips musicaux. Je n’ai pas fait Danse avec les stars, car je préparais mon album, mais ça m’aurait amusée. Je regarde souvent les concours de danse rétro. J’écoute les opéras sur Arte. Je suis très sensible aux voix. Que ce soit celles de Montserrat Caballé, Kate Bush ou Madonna…
Quelles voix de télévision aimez-vous ?
Celle de Claire Chazal, réconfortante, sans effet de style, comme une maîtresse d’école de province. Celles des femmes de Mad Men. Celle de Mireille Dumas aussi. Elle engage les gens à parler. C’est une sorte d’inquisition douce qui pousse à la confidence. J’y suis allée plusieurs fois… La voix de Hugh Laurie chanteur me plaît aussi beaucoup.
Vous regardez Dr House ?
De temps en temps. J’aime son humour cynique. Mais je ne suis pas accro. Pour moi, la seule série, c’est Mad Men ! J’ai même triché : j’ai acheté les coffrets à New York. Je retrouve la douceur et l’atmosphère du vintage. À cette époque, il y avait un idéal de beauté, le souci du détail qui changeait tout… J’ai la nostalgie de cette élégance. C’est pourquoi je ne chante que d’anciennes chansons…
Les femmes y étaient gracieuses, certes, mais soumises…
Bien sûr que la place des femmes à l’époque n’était pas la même. Celles qui vivent encore comme ça sont les véritables «Desperate Housewives ». Mais, aujourd’hui que les choses sont plus débridées, est-ce plus sympathique pour elles ?
Vous regardez donc le JT de Claire Chazal ?
Je regarde surtout LCI. La chaîne a un effet hallucinatoire sur moi. Si je la regarde dans la nuit, je me sens connectée au monde. C’est une sensation étrange.
Et les jeux ?
Jamais ! J’y viendrai peut-être un jour. Après tout, Françoise Sagan ne manquait jamais Questions pour un champion !

Propos recueillis par Élisabeth Perrin pour le Figaro / TV Magazine.
 Text Pris de site d'Arielle Dombasle

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