segunda-feira, 27 de junho de 2011

Arielle Dombasle : Le mariage gay autorisé à New York le jour de sa Gay Pride.





 Vendredi 24 juin, l'état de New york est devenu le sixième état à autoriser le mariage homosexuel aux Etats-Unis et rejoint l'Iowa, le New Hampshire, le Massachusetts, le Connecticut et le Vermont. Après des semaines de débats, la chambre haute a voté de justesse une loi reconnaissant le mariage homosexuel. Rappelons qu'en Californie, le mariage gay avait été autorisé. Mais depuis la Proposition 8 est passée par là . Cette proposition proposait d'inscrire dans la constitution que le mariage était réservé aux hétérosexuels. Colère mais pour le moment, c'est toujours interdit.


Le jeudi précédent, le président Barack Obamaavait prononcé un discours au cours d'un gala de charité en faveur de la communauté gay new yorkaise interprêté comme une position favorable envers le mariage homosexuel, bien que le mot "mariage" n'ai pas été prononcé. Le président avait cependant estimé que les couples homosexuels devraient avoir les mêmes droits légaux que les couples hétérosexuels.



ne décision loin de la position française, puisque les députés ont rejeté le 14 juin dernier une proposition de loi visant à légaliser le mariage gay, alors que 63% des français se déclarent favorables à l'union entre deux personnes du même sexe et 58% favorables à l'adoption par des couples homosexuels.
Et cette décision tombe le jour même de l'annuelle Marche des fiertés LGBT, Lesbiennes, gaies, bi et transexuelles, anciennement connu sous le nom de Gay Pride qui s'est déroulé ce 25 juin. Et cette année, les 500 000 personnes ont une marraine de poids en la personne d'Arielle Dombasle qui ne comprend pas la position des politiques : "J'ai honte qu'on mette des bâtons dans les roues de ceux qui veulent adopter alors que les enfants ne rêvent que de l'amour que peuvent leur porter deux individus du même sexe". Et après avoir donné le top départ de la marche, elle a donné le coup d'envoi du "Kiss In" place de la Bastille, où chacun a embrassé un partenaire du même sexe... 
  1. Text pris de site Pure People. 



sexta-feira, 24 de junho de 2011

Arielle Dombasle sur Yagg

Arielle Dombasle est la marraine de la Marche des Fiertés LGBT 2011 de Paris (ex-gay pride) qui a lieu le samedi 25 juin. Elle explique son engagement sur Yagg.


quarta-feira, 22 de junho de 2011

Interview - TÊTU Magazine


Arielle Dombasle: «Les homos sont faits pour le mariage!»


«Pour la cause gay», le 25 juin, la belle, l’arachnéenne Arielle Dombasle défilera sur le pavé parisien, en tant que marraine de la Marche des fiertés LGBT. À quelques jours de l'événement, TÊTU a rencontré la chanteuse lyrique et passionnée, au style inimitable...

Têtu: Pourquoi avoir accepté de devenir la marraine de cette Marche des fiertés 2011? 
Arielle Dombasle: Parce que la communauté gay a été la première à m’adopter, elle a toujours été présente à mes côtés. Mon univers, mon entourage est infiniment gay. Pour une fois, j’ai l’occasion de rendre à tous ces garçons, à toutes ces filles aussi, une part infime de ce concentré de bonheur qu’ils m’offrent par brassées entières. Et puis lancer le kiss-in le plus grand au monde est une idée qui me transporte. J’adoooore! Via Internet, nos bisous seront retransmis, en direct, aux quatre coins du globe. Je compte sur vous! Rendez-vous samedi, place de la Bastille, à 19 heures. Un baiser peut faire basculer une vie...

Que signifie la communauté gay pour vous? 

C’est une terre étrangère, mystérieuse, mais fascinante. C’est une terre en danger aussi, une planète dont les habitants sont souvent menacés, tourmentés. Je rentre de Moscou où j’y ai apprisces vagues de violences terribles faites aux gays. Je suis scandalisée, ça me renvoie à une image de mon enfance. Lorsque j’étais petite fille, à Mexico, il y avait un jeune garçon, hyper efféminé, sur qui d’autres garçons, plus costauds jetaient des pierres. Samedi, en marchant, c’est à lui et à tous ceux qui continuent d’être les victimes de l’homophobie que je penserai. C’est aussi pour eux que j’agis…

S’il n’y avait pas de gays sur terre? Je serai sans doute la femme la plus triste au monde…Quel est votre avis sur le mariage homo? 
Mexico, la ville où j’ai grandi, vient de l’autoriser. Je suis folle de joie! Quelle sage décision! Je suis une grande fervente du mariage. Je milite à 100% pour cette vieille et belle institution. Se marier c’est comme défier les étoiles. C’est jurer amour et fidélité, prendre des risques insensés, avancer les yeux bandés, se donner, s’abandonner à l’autre. C’est tellement hors norme aujourd’hui, tellement décalé, que ça en devient tendance. Interdire le mariage, c’est interdire de croire! De croire en l’autre, de croire en soi aussi! Les homos sont faits pour le mariage. Je pense qu’ils peuvent s’approprier ces valeurs, les réinventer. Je ne comprends pas que ce projet ne soit pas encore entériné. Que la France peut être lente…

Vous dites que, dans votre entourage, vous pourriez compter les garçons qui ne sont pas gays…
Ils sont tous gays! (Rires) Comment imaginer des cinéastes, des photographes, des musiciens, des écrivains, des couturiers, des meilleurs amis… s’il n’y avait pas de gays sur terre? Je serai sans doute la femme la plus triste au monde… Merci à John Galliano, Jean Paul Gaultier, Patrick Meunier, et tous les autres – il y en a des centaines, des milliers – pour leurs éclats de rire, leur extravagance, leur timidité… Pour leur extrême vulnérabilité aussi. J’aime ces gens qui n’ont pas peur de l’inconnu.
La belle Arielle a-t-elle déjà été troublée par des charmes féminins?
Il faudrait être de marbre pour ne jamais avoir été grisé par le corps d’une femme. L’essence féminine me fascine. Elle a quelque chose d’envoûtant. Dans mon enfance, je me souviens de danseuses de cabaret. De leurs gestes, des courbes de leur corps, de leur parfum, de leur peau…

Au fait, en plus d’être la marraine de la Marche des fiertés, vous venez de sortir votre sème album… Effectivement! J’allais l’oublier! Diva Latina est un album de reprises électro latino. Il y a de la salsa, du mambo, de la bomba… Je revisite des classiques, comme Hasta siempre, Mambo 5, Pata pata, Porque te vas… le tout remixé à la Dombasle, avec un côté hip-hop, électronique. Ça bouge, ça swingue, c’est caliente. Une ambiance idéale pour oublier le ciel gris d’un après-midi à Paris et oser embrasser son voisin. Je compte sur vous ! Je vais être, j’en suis sûr, à la source d’une foultitude d’histoires d’amour…
  1. Text pris de site TÊTU

terça-feira, 21 de junho de 2011

Les muses de Jean Paul Gaultier


Montréal sera la rampe de lancement pour l'exposition mondiale, Planète mode qui porte sur le créateur Jean-Paul Gaultier qu'on surnomme l'enfant terrible. Le designer a largement contribué au cinéma en collaborant avec des réalisateurs comme Almodovar, Besson, Jeunet et au milieu du spectacle avec des muses comme Madonna, Arielle Dombasle, Lady Gaga et Mylène Farmer.

Arielle Dombasle en visite sur le Tapis Rose

sexta-feira, 17 de junho de 2011

Marche des Fiertés (Gay Pride) 2011





Arielle Dombasle sera la marraine de la prochaine édition de la Marche des Fiertés (ex-Gay Pride) prévue samedi 25 juin dans les rues de Paris entre Montparnasse et Bastille, a annoncé mercredi l'Inter-LGBT, organisatrice de la manifestation.
Arielle Dombasle, actuellement à l'affiche des FrancoFolies de Montréal (Canada), donnera le coup d'envoi de la manifestation en début d'après-midi, boulevard du Montparnasse, et prendra ensuite la tête du cortège qui doit rallier la place de la Bastille en fin d'après-midi.
En début de soirée, l'actrice et chanteuse soprano lancera sur un air de mambo un "kiss in" géant. Au cours de cette "flash mob", des milliers de manifestants embrasseront leur partenaire du même sexe, en forme de clin d'oeil au lieu "hautement symbolique" qu'est la place de la Bastille.
Dernière édition de la manifestation avant l'échéance présidentielle de 2012, la marche du 25 juin portera haut et fort les revendications phare de l'Inter-LGBT. L'inter-associative milite pour l'obtention d'une "égalité réelle" entre couples homosexuels et hétérosexuels, à travers notamment l'accès au mariage entre personnes du même sexe et les droits qui en découlent, comme l'homoparentalité.
Mardi, les députés ont rejeté par 293 voix contre 222 une proposition de loi du groupe socialiste visant à ouvrir le mariage aux couples de même sexe. Les élus UMP et Nouveau Centre (NC) ont largement voté contre cette proposition de loi. Toutefois, neuf députés UMP ou proches, dont l'ancien ministre Jean-Louis Boorlo ou le député progressiste de Seine-et-Marne Franck Riester ont voté pour. Neuf autres députés de la majorité présidentielle, dont l'ancien ministre Christian Estrosi se sont eux, volontairement abstenus.
Première manifestation revendicative en France depuis 1997, la Marche des Fiertés rassemble chaque année une moyenne de 500.000 personnes le dernier samedi de juin dans les rues de la capitale.

Text pris de site: http://tempsreel.nouvelobs.com

MFM Radio une interview avec Arielle Dombasle

quinta-feira, 9 de junho de 2011

Variétés Star - TV Belgique

Interview - Télé 7 Jours.


Comment est né Diva Latina ?
J’ai toujours adoré danser rumbas, salsas, cha-cha-cha, mambos,  sur les rythmes latinos. J’ai grandi au Mexique, baignée dans cette musique populaire. J’ai eu envie de reprendre tous ces morceaux en or et d’enregistrer un album qui serait un hymne à la joie. C’est drôle, les gens dansent immédiatement en écoutant les premières notes. Je reprends des tubes comme “Mambo n°5” de Lou Bega ou “Gopher Mambo” d’Yma Sumac ou encore des morceaux de Meccano et de la Mano Negra.
Comment rattachez-vous cet album à vos souvenirs d’enfance ?
“Porque te vas », par exemple, j’étais une ado rêveuse et amoureuse d’un garçon que je n’avais vu qu’une fois. Il habitait dans une maison au bord d’un lac, à Valle del Bravo. On m’avait dit qu’il avait des jumelles et qu’il pouvait me voir, même de très loin (elle rit). Chaque jour, je m’installais alors au bout d’un ponton, faisant semblant de lire et prenant des poses .Et je chantais “Porque te vas”.
A quoi ressemblait votre enfance au Mexique ?
C’est un pays extraordinaire pour l’enfance. Il a des jungles, des déserts, l’océan Pacifique, les Caraïbes. Et puis, les gens bien sûr .Un miracle !Mon souci, c’est que je vivais avec mes parents, une vie  privilégiée, dans un pays très pauvre et je m’évertuais à le cacher. J’étais un petit garçon manqué. Mon père ne voulait pas d’une fillette peureuse. Je l’accompagnais dans la jungle quand il partait a l’aventure.C’ était un grand passionné du Mexique précolombien.
Vous chantez « Pata Pata » en duo avec Mokobe, du groupe de rap 113. Une collaboration surprenante…
Quand j’ai rencontré Mokobe, il m’a dit : « J’ai googlelisé Arielle Dombasle sur internet et je me suis dit : « La meuf, elle est trop ! » (Rires) ». C’est vrai que mêler nos deux univers était une belle idée, et qui, je crois, fonctionne.
Votre album allie tradition et modernité. Dans la vie de tous les jours, comment êtes-vous ?
Je suis quelqu’un de mon époque, qui aime écouter tous les mouvements musicaux. Je me nourris de tout, de l’art photographique à la mode. J’ai aussi ce côté très romantique. J’aime les longues promenades, rêver et contempler la nature.
Votre précédent album Glamour à mort, avec Philippe Katherine, n’a pas vraiment fonctionné. Comment l’expliquez-vous ?
Nous avons fait des concerts « extras » ! L’univers de Philippe est très pointu. Et je chantais pour la première fois en français. Je crois que le public préfère quand je suis une interprète en espagnol, comme pour Amor Amor (disque de platine) mais avec la même voix, qu’elle soit lyrique ou plus « swing »…
Cette voix justement, comment la travaillez-vous ?
J’ai quitté le Mexique à 18 ans pour Paris afin de prendre des cours au Conservatoire de musique. J’ai développé ma voix de soprano dramatique avec des maîtres remarquables, de bel canto et d’opéra. J’ai fait beaucoup de scène. J’en fais encore. Et j’adore ça.
Interview Jérémy Parayre
  1. Text Pris de official d'Arielle Dombasle
  2. www.arielle-dombasle.com

domingo, 5 de junho de 2011

Interview - Nous Deux Magazine


Votre album s’appelle Diva latina. Qu’est-ce qu’une diva pour vous ?
C’est quelqu’un qui incarne corps et âme divers personnages s. La diva se livre entièrement aux mélodrames qu’elle doit faire vivre sur scène.
Pensez vous en être une?`
On m’a toujours considérée ainsi…Selon moi,c’est quelqu’un qui a une maîtrise et une connaissance de la voix, et je pense que c’est mon cas. Depuis toute petite, on me répète que j’ai une voix d’or. C’est mon seul trésor.  Enfant, je chantais dans les fêtes[...] A 18 ans, quand je suis arrivée à Paris, j’ai fait des études au conservatoire. J’ai appris le bel canto en développant ma voix de soprano dramatique avec des maîtres de renom. J’ai une voix très entraînée.
Revisiter des standards de musique latine, est-ce une façon de renouer avec vos racines ?
Oui, tout à fait, je retourne ainsi à mes sources . La musique me permet de retrouver ma part mexicaine, car si je suis née aux Etats-Unis,à New York. J’ai vécu jusqu’à l’âge de 18 ans au Mexique, et ma langue maternelle est l’espagnol, avec ses sons et sa musicalité . A la maison, on parlait espagnol. Mon père, originaire d’une famille de soyeux de Bourgogne, a connu ma mère à l’ambassade de France à Mexico. Il est tombé amoureux d’elle et du Mexique ! Ils ont décidé d’y vivre.Mon père a implanté ses fabriques de velours dans toute l’Amérique latine. C’est mon frère qui  a repris les affaires de velours et de soie. Il vit toujours au Mexique.
Comment vous est venue l’idée de cet album latino ?
J’avais envie d’un album “muy caliente”, empreint de joie et de gaieté. Je désirais que les gens aient envie de danser immédiatement en écoutant les morceaux . J’ai adoré la rumba, la salsa, le groove  les rythmes afro-cubains et je voulais que l’on puisse danser avec moi. Ce sont des rythmes qui, irrésistiblement, vous invitent à danser et favorisent le rapprochement des corps et des cœurs . Ces standards latino font vraiment partie de mon histoire, chacune des chansons de cet album a ponctué un moment fort de mon existence. Ce sont mes madeleines de Proust, des rendez-vous musicaux avec des choses que j’ai aimées.
Votre premier single est Porque te vas. Que vous évoque cette chanson interprétée, en 1974, par Jeanette ?
Cette chanson a marqué toute une saison de mon adolescence au Mexique, et elle me bouleverse encore. A l’époque, je me souviens que j’avais le cœur qui battait pour un garçon qui avait une maison au bord d’un lac, à Valle del Bravo. Chaque jour, je m’installais plusieurs heures d’affilée au bout d’un ponton en prenant des poses et en faisant semblant de lire dans l’espoir qu’il me remarque. Et je la chantonnais…
Cette chanson a donné lieu à un très beau clip dans lequel vous campez un homme…
« C’est  le directeur artistique du Crazy Horse, Ali Mahdavi, qui a signé ce clip. J ‘y incarne deux facettes d’un même personnage, l’amoureuse et le toréador, la passion et la raison. Ali  a voulu illustrer le combat intime qui nous agite quand on est sous l’emprise de l’amour. On aimerait être volontaire, forte et féroce comme un toréro, mais on est aussi vulnérable et dépassé par quelque chose qui vous échappe. C’est toute l’histoire du dédoublement amoureux, j’aime cette dualité et cette confrontation entre la diva latina et son double masculin, le matador. Je chante mon amour perdu, tandis que mon double prend le dessus. Au final, la diva finit par tuer  la raison en elle »
Ce disque vous montre  passionnée,. Vous êtes cette femme?
Je suis une amoureuse exaltée qui serait capable de tuer ou de se tuer par amour. C’est ma nature, c’est vrai … Je ne peux pas vivre autrement que dans la passion. Elle m’a toujours guidée, m’a habitée dans la conduite de ma vie.
Vous avez la vie que vous aviez rêvée ?
Enfant, j’ai rêvé ma vie, et j’ai aujourd’hui la vie dont je rêvais.  Elle est très accomplie, très artistique, ce n’est pas  une autoroute car j’aime les chemins qui bifurquent , remplis de surprises. C’est une vie sous le signe des rencontres, de la sentimentalité et de l’amour.
La passion amoureuse n’est-elle pas liée à la souffrance?Bien sûr qu’elles sont liée!Car la violence des tourments amoureux est incontrôlable. Elle vous taraude, vous fracasse. Vous ne pouvez pas  y échapper.
Avez-vous connu des chagrins d’amour ?
Comme tout le monde! Evidemment le prix à payer pour aimer se relève  parfois féroce… Mais malgré tout, rien n’est plus beau que l’amour. C’est la seule chose qui m’intéresse dans la vie… Je suis cette éternelle romantique. C’est un idéal et je le revendique,  j’aime l’amour, que voulez-vous? J’ai toujours eu le souhait et le besoin viscéral d’être aimée, et aussi d’aimer follement.
Qu’est-ce qui explique chez vous ce besoin d’amour ?
Cela doit être lié à l’enfance… J’ai perdu ma mère a l’âge de 11 ans, j’ai été très tôt confrontée aux souffrances. J’ai dû me surpasser, m’adapter. Je voyais me mère comme une madone absolue. Elle était le raffinement, la grâce, l’élégance!
Pourquoi avez-vous choisi de vivre actuellement à l’hôtel?
« J’ai quitté le boulevard Saint-Germain parce que l’année dernière je suis tombée sous le charme d’un autre appartement ravissant, dans lequel ma grand-mère m’avait emmenée,boire du thé chez une de ses amies. Et comme il se libérait j’ai voulu y habiter et du coup nous avons vite vendu notre appartement et nous nous sommes retrouvés à l’hôtel .

L’odieuse rumeur de sa séparation avec Bernard-Henri Lévy…
Ces rumeurs sont du poison.Il y a toujours des gens qui veulent votre mort… Je vis une passion intense et entière, je ne peux pas faire autrement et je reste la femme d’un seul homme. Nous avons toujours partagé un amour éperdu. Bernard-Henri a une adoration pour moi. Pour la personne extraordinairement romantique que je suis, l’amour, c’est l’amour à mort. Je suis née pour adorer et être adorée. J’ai fait tant d’autres choses par amour pour lui, d’ailleurs je ne peux aimer que quand j’admire…
Dominique Parravano
  1. Text Pris de official d'Arielle Dombasle
  2. www.arielle-dombasle.com