Comment est né Diva Latina ?
J’ai toujours adoré danser rumbas, salsas, cha-cha-cha, mambos, sur les rythmes latinos. J’ai grandi au Mexique, baignée dans cette musique populaire. J’ai eu envie de reprendre tous ces morceaux en or et d’enregistrer un album qui serait un hymne à la joie. C’est drôle, les gens dansent immédiatement en écoutant les premières notes. Je reprends des tubes comme “Mambo n°5” de Lou Bega ou “Gopher Mambo” d’Yma Sumac ou encore des morceaux de Meccano et de la Mano Negra.
J’ai toujours adoré danser rumbas, salsas, cha-cha-cha, mambos, sur les rythmes latinos. J’ai grandi au Mexique, baignée dans cette musique populaire. J’ai eu envie de reprendre tous ces morceaux en or et d’enregistrer un album qui serait un hymne à la joie. C’est drôle, les gens dansent immédiatement en écoutant les premières notes. Je reprends des tubes comme “Mambo n°5” de Lou Bega ou “Gopher Mambo” d’Yma Sumac ou encore des morceaux de Meccano et de la Mano Negra.
Comment rattachez-vous cet album à vos souvenirs d’enfance ?
“Porque te vas », par exemple, j’étais une ado rêveuse et amoureuse d’un garçon que je n’avais vu qu’une fois. Il habitait dans une maison au bord d’un lac, à Valle del Bravo. On m’avait dit qu’il avait des jumelles et qu’il pouvait me voir, même de très loin (elle rit). Chaque jour, je m’installais alors au bout d’un ponton, faisant semblant de lire et prenant des poses .Et je chantais “Porque te vas”.
“Porque te vas », par exemple, j’étais une ado rêveuse et amoureuse d’un garçon que je n’avais vu qu’une fois. Il habitait dans une maison au bord d’un lac, à Valle del Bravo. On m’avait dit qu’il avait des jumelles et qu’il pouvait me voir, même de très loin (elle rit). Chaque jour, je m’installais alors au bout d’un ponton, faisant semblant de lire et prenant des poses .Et je chantais “Porque te vas”.
A quoi ressemblait votre enfance au Mexique ?
C’est un pays extraordinaire pour l’enfance. Il a des jungles, des déserts, l’océan Pacifique, les Caraïbes. Et puis, les gens bien sûr .Un miracle !Mon souci, c’est que je vivais avec mes parents, une vie privilégiée, dans un pays très pauvre et je m’évertuais à le cacher. J’étais un petit garçon manqué. Mon père ne voulait pas d’une fillette peureuse. Je l’accompagnais dans la jungle quand il partait a l’aventure.C’ était un grand passionné du Mexique précolombien.
C’est un pays extraordinaire pour l’enfance. Il a des jungles, des déserts, l’océan Pacifique, les Caraïbes. Et puis, les gens bien sûr .Un miracle !Mon souci, c’est que je vivais avec mes parents, une vie privilégiée, dans un pays très pauvre et je m’évertuais à le cacher. J’étais un petit garçon manqué. Mon père ne voulait pas d’une fillette peureuse. Je l’accompagnais dans la jungle quand il partait a l’aventure.C’ était un grand passionné du Mexique précolombien.
Vous chantez « Pata Pata » en duo avec Mokobe, du groupe de rap 113. Une collaboration surprenante…
Quand j’ai rencontré Mokobe, il m’a dit : « J’ai googlelisé Arielle Dombasle sur internet et je me suis dit : « La meuf, elle est trop ! » (Rires) ». C’est vrai que mêler nos deux univers était une belle idée, et qui, je crois, fonctionne.
Quand j’ai rencontré Mokobe, il m’a dit : « J’ai googlelisé Arielle Dombasle sur internet et je me suis dit : « La meuf, elle est trop ! » (Rires) ». C’est vrai que mêler nos deux univers était une belle idée, et qui, je crois, fonctionne.
Votre album allie tradition et modernité. Dans la vie de tous les jours, comment êtes-vous ?
Je suis quelqu’un de mon époque, qui aime écouter tous les mouvements musicaux. Je me nourris de tout, de l’art photographique à la mode. J’ai aussi ce côté très romantique. J’aime les longues promenades, rêver et contempler la nature.
Je suis quelqu’un de mon époque, qui aime écouter tous les mouvements musicaux. Je me nourris de tout, de l’art photographique à la mode. J’ai aussi ce côté très romantique. J’aime les longues promenades, rêver et contempler la nature.
Votre précédent album Glamour à mort, avec Philippe Katherine, n’a pas vraiment fonctionné. Comment l’expliquez-vous ?
Nous avons fait des concerts « extras » ! L’univers de Philippe est très pointu. Et je chantais pour la première fois en français. Je crois que le public préfère quand je suis une interprète en espagnol, comme pour Amor Amor (disque de platine) mais avec la même voix, qu’elle soit lyrique ou plus « swing »…
Nous avons fait des concerts « extras » ! L’univers de Philippe est très pointu. Et je chantais pour la première fois en français. Je crois que le public préfère quand je suis une interprète en espagnol, comme pour Amor Amor (disque de platine) mais avec la même voix, qu’elle soit lyrique ou plus « swing »…
Cette voix justement, comment la travaillez-vous ?
J’ai quitté le Mexique à 18 ans pour Paris afin de prendre des cours au Conservatoire de musique. J’ai développé ma voix de soprano dramatique avec des maîtres remarquables, de bel canto et d’opéra. J’ai fait beaucoup de scène. J’en fais encore. Et j’adore ça.
Interview Jérémy Parayre
J’ai quitté le Mexique à 18 ans pour Paris afin de prendre des cours au Conservatoire de musique. J’ai développé ma voix de soprano dramatique avec des maîtres remarquables, de bel canto et d’opéra. J’ai fait beaucoup de scène. J’en fais encore. Et j’adore ça.
Interview Jérémy Parayre
- Text Pris de official d'Arielle Dombasle
- www.arielle-dombasle.com
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